Un groupe d’étudiants de l’université de La Haye au Pays Bas a imaginé un dispositif capable à la fois de filtrer l’air pollué de nos villes et d’éclairer nos rues, le tout évidemment de façon écologique et durable !
Une sorte de mas élancé qui pourrait s’apparenter à un lampadaire mais se terminant pas de larges et élégantes feuilles de métal, voilà à quoi ressemble IDair. Cette invention technologique a une double visée écologique.
A LIRE : Des arbres phosphorescents pour éclairer nos rues !
Tout d’abord, IDair a pour vocation de révolutionner l’éclairage public. Cet arbre de métal est équipé de lampes à LED basse consommation qui sont alimentées par des cellules photovoltaïques placées sur les feuilles de métal. IDair est donc totalement autonome en énergie sans être rattaché au réseau urbain traditionnel.
Ce système permet un éclairage précis, sans pollution lumineuse et adapté à l’environnement. Il diffuse une lumière douce et basse quand le lieu est vide et comme il est pourvu d’un détecteur de mouvements, la lumière s’intensifie dès que quelqu’un est à proximité. Tous ces dispositifs technologiques permettent de réaliser des économies d’énergie considérables.
A DÉCOUVRIR : Biomimétisme : 5 projets remarquables inspirés par la Nature
De plus, basée sur les principes du bio mimétisme, cette invention n’est pas uniquement utile la nuit mais s’active également en journée. Tel un arbre de métal, IDair filtre l’air pollué grâce aux mêmes cellules photovoltaïques qui fournissent l’éclairage la nuit. Son objectif n’est évidemment pas de remplacer les arbres en ville mais plutôt de compléter leurs actions sur le modèle d’une petite station de purification de l’air qui permettrait aux riverains de mieux respirer.
Économies d’énergie grâce à un éclairage intelligent, dépollution de l’air ces atouts écologiques ne s’arrêtent pas là, car il est en outre éco-conçu ! Il est équipé de LED basse consommation, son mas est en acier inoxydable fabriqué à partir de 60% de matériaux recyclés et les feuilles sont en fibres de verre.
Reste à nous expliquer:
– les cellules photovoltaïques sont sensées produire du courant la nuit…
– si il s’agit d’accumulation le jour et restitution la nuit on passe sur des batteries
– Le batteries ne sont pas des solutions « vertes »
– la production de cellules photovoltaique sur ces surfaces ne suffit pas à alimenter un éclairage LED au norme pendant toute la nuit, donc rajouter un purificateur d’air…
– des purificateurs d’air demandent de la maintenance pour changer les filtres
Pourrait-on d’abord penser des solutions visant à baisser les niveaux lumineux de l’éclairage urbain? Les normes indiquent seulement des minimum, mais jamais des maximums. Déja que les valeurs mini sont très fortes.
Bonjour,
Pouvez-vous indiquer la source de cette information svp ?
Je ne comprends pas le principe et ne trouve pas d’infos supp. Pas de site web pour cette « société », d’ailleurs IDair, c’est une joint venture entre Lufthansa et Panasonic qui fait des équipements aéronautiques VIP ! (et aucune trace de lampadaires chez ces gens là), rien non plus sur l’Université de La Haye … bref: d’où ça sort ce truc ? 🙂
Merci
Cdlt