Depuis 2008, l’artiste Tadashi Kawamata a installé de nombreuses «huttes dans les arbres» temporaires à Paris ou dans d’autres villes comme New York et Miami.
Il les a fait fleurir dans le jardin des Tuileries (2008), à la Monnaie de Paris (2008) et au Centre Pompidou (2010), ou encore, plus récemment, place Vendôme (2013). Il compare ses cabanes à des huttes tribales, des refuges pour sans-abris, ou même des pigeonniers.

À l’instar des cabanes dans des décors « plus naturels », ces structures évoquent l’idée de refuge, mais dans un esprit de contradiction délibérée avec leur environnement urbain.

D’autres huttes ont été aménagées sur la façade du Centre Pompidou, à la Monnaie de Paris et dans une maison particulière de Paris.

La façade du centre national d’art partiellement recouverte de petites cabanes de bois, érigées par l’artiste japonais Tadashi Kawamata.

Sur la colonne Vendôme, au centre d’une place parisienne très classique, ou sur les façades voisines, les «huttes dans les arbres» de Kawamata peuvent aussi faire penser à des nids d’oiseaux.
